le "chapeau" le parisien est de toute beauté : par une simple coïncidence je suis en train de lire "Praline au tour de France" par Brantonne (acheté ce matin) et bien c'est encore plus drôle, mais de manière involontaire .
Ouaip, il est vraiment très seyant. J'en avais chopé un comako, gamin, lorsque nous étions allés jeter des seaux d'eau glacée sur les concurrents de Poupou, vers 1965 ou 1966, à Saint-Julien Molin Molette. Du coup, pour avoir d'autres chapeaux en papier, j'aurais bien suivi le Tour de France d'étape en étape. Mais la Dyna Panhard de mon père aurait eu de grosses difficultés dans les cols. Par ailleurs, j'observe que Cornillon n'a pas son pareil pour dessiner des personnages sympathiques (car profondément humains, dans tous les sens du terme) auxquels on peut aisément s'identifier, comme les madrés supporters de Gino Bartaba.
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le "chapeau" le parisien est de toute beauté : par une simple coïncidence je suis en train de lire "Praline au tour de France" par Brantonne (acheté ce matin) et bien c'est encore plus drôle, mais de manière involontaire .
Ouaip, il est vraiment très seyant. J'en avais chopé un comako, gamin, lorsque nous étions allés jeter des seaux d'eau glacée sur les concurrents de Poupou, vers 1965 ou 1966, à Saint-Julien Molin Molette. Du coup, pour avoir d'autres chapeaux en papier, j'aurais bien suivi le Tour de France d'étape en étape. Mais la Dyna Panhard de mon père aurait eu de grosses difficultés dans les cols.
Par ailleurs, j'observe que Cornillon n'a pas son pareil pour dessiner des personnages sympathiques (car profondément humains, dans tous les sens du terme) auxquels on peut aisément s'identifier, comme les madrés supporters de Gino Bartaba.
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