Trouvé aujourd'hui, cette illustration réalisée il y a près de 20 ans pour l'album "Fétiche" (un livre sur le fétiche Arumbaya de Tintin ) édité par Yann Rudler à l'époque : des passionnés de BD franco-belges dont le site se trouve ici ont imprimé l'image de L.C en en faisant une couverture dans un port-folio à tirage plus que confidentiel !
A noter que le dessin original a été égaré malencontreusement par le mème Rudler, mais on peut raisonnablement espérer qu'il a été miraculeusement été retrouvé par un collectionneur anonyme !
7 commentaires:
Toujours cette distraction propre aux éditeurs, aux directeurs de collections et responsables divers qui gravitent autour des auteurs... Dans la tourmente du travail, ces stakkhanovistes de l'édition omettent de renvoyer les oeuvres originales à leur créateur... pour le plus grand bonheur des commissaires priseurs. Le malheur des uns faisant le bonheur des autres...
Pitoul de pitoulette !!! En parlant de choses plus heureuses ... le Sketchbook est à l'impression !
même qu'il devrait être imprimé dans la semaine ...
yes yes yes
On pourra le commander bientôt, en vente par correspondance ?
oui, L.C m'a signalé qu'on pouvait directement le lui commander contre 149€ ou 299€ avec une dédicace personnalisée: moyennant 50 € de plus il pourra également être signé par Chaland lui-même ! alors pas d'hésitation ! (on me signale que pour des commodités techniques propre à l'informatique, des règlements en espèces seraient souhaitables )
Merci cher Bedrock de vous faire le hérault de L.C., (accaparé par les chantiers de l'Opac de l'Oise et les groupes de rock dont il faut désormais raconter le parcours en BD). Transmettez-lui en retour mes compliments et mes voeux pour 2009.
Je prépare l'enveloppe contenant 448 euros en talbins usagés, car j'achète, bien entendu :
- un sketchbook dédicacé par L.C. himself (je le conserverai précieusement, car pas donné, le ch'ti recueil, malgré la dédicace)
- et un sketchbook enrichi d'une magnifique dédicace d'Yves Chaland que je devrais pouvoir refourguer (ben ouais, je saurais que c'est du bidon !) dans les 460 euros sur un site d'enchères d'enfer, où les gogos se font entuber de longue.
Au final, mon authentique Cornillon, quoique destiné à l'élite fortunée de ce pays (une oligarchie déguisée en démocratie), ne m'aura pas coûté grand chose.
Je m'en frotte les mains d'avance, à la manière d'un maquignon du XIXe.
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