C'était dans le N° de Phosphore 46 de novembre 1984: cette histoire de Frankenstein, adaptation quasi fidèle du roman de Mary Shelley ! (enfin, le début de l'histoire seulement) , une oeuvre tout en subtilité, et où, l'auteur avait choisi de reprendre l'apparence du monstre tel qu'il était dans les films classiques avec Boris Karloff: gothique à souhait, et malgré tout bon-enfant ! voici la première moitié de ce récit.
Il est à noter qu'un peu plus tard, L.C illustrait à nouveau dans Phosphore ,de la même manière, et avec la même rigueur une aventure de Sherlock Holmes, mais ceci est une autre histoire .
2 commentaires:
Qu'est ce qu'elles sont belles, ces deux planches ! Et quel crétin je suis (ou j'étais) de ne pas m'être abonné à Phosphore en temps utile...
Pinaise, La Grande Ourse, qu'est ce qu'elle attend pour en faire des albums, de tous ces récits...?
On a bien compris, depuis que ce blog existe, que le meilleur de Luc Cornillon en BD est finalement inédit en albums. Seules les oeuvres d'extrême jeunesse du Jeune Cornillon ont connu une certaine consécration sous forme de livres. Les autres sont éparpilées et disséminées dans de multiples revues. Seul un chineur comme Geert pourraît s'y retrouver dans pareille jungle.
pour être éparpilllé c'est éparpillé ! quant à prendre la Grande Ourse comme éditeur, j'ai peur que le coté bénévole et donc l'absence de droits d'auteur corresponde peu à la plus grande ambition de L.C .
Enregistrer un commentaire